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In Ashes to Ashes i'm falling falling

2 octobre 2008

Cher....

Phone_Me_by_complejo

"Avant d'essayer de te laisser tranquille, je voudrais te dire une ou deux choses. Tout d'abord, tout ce que j'ai pu te raconter était faux. Je suis désolée. J'ai été bête mais je voulais tout tenter pour te revoir une dernière fois, même si tu m'as trompé.
Je t'aime J. et je t'attends. Je suis persuadée que tu seras le seul, je ne m'imagine pas avec quelqu'un d'autre. Je sais qu'on finira ensemble, qu'il faut juste qu'on s'en rende compte. Mais que faire pour que tu t'en rendes compte? Qu'est-ce que je dois faire pour que tu reviennes??
Je sais, tout ça c'est gnangnan, mais c'est ce que je ressent et je ne vais pas continuer à faire comme si je t'avais oublié, comme si j'arrivais à passer à autre chose. Je t'entends d'ici, non je ne suis pas hystérique, juste sûre de moi. Et je n'ai pas à avoir honte d'être amoureuse et un minimum plus passionnée que la majorité des gens.

Si tu veux revenir J. je n'ai pas changé d'adresse. Et si c'est le cas, je te le dirais ne t'en fais pas. "

Le truc de la fille heureuse et épanouie, ça ne dure qu'un temps.

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10 septembre 2008

Trois mois sans écrire... ce n'est pas nouveau.

Celebrity_by_complejo

Trois mois sans écrire... ce n'est pas nouveau. Cela fait un moment que je n'écris pratiquement jamais ici, je ne viens même plus voir ce qu'il se passe.
Après m'être fait larguée par celui que je pensais être l'homme de ma vie (ou quelque chose d'approchant), je me dis que je ne peux plus me complaire dans mes malheurs, mon mal de vivre ou autres lubies de dépressive.
Je n'ai plus d'amoureux, plus personne à prendre dans mes bras, à embrasser, plus personne pour me prendre dans ses bras, plus de texto le soir avant de m'emdormir, plus personne pour me dire que je suis la meilleure.... Ca a été dur, ça l'est toujours. Rester persuadée qu'il reviendra, tout en sachant qu'il a une copine qu'on imagine banale et insignifiante naturellement. Se dire que pour qu'il me trouve une remplacante si vite, je n'ai jamais du beaucoup compter.
Mais tout ça c'est fini. Oh bien sûr je pense toujours à lui mais j'essaye de ne plus parler de lui. Moins je parle de lui, moins je pense à lui, mieux je me porte. J'ai décidé de m'y tenir un minimum, surtout en ce moment où j'ai vraiment envie de ne pas parler de lui. C'est tellement rare, je dois m'y tenir.
Mais aussi j'ai découvert d'autres blogs. Des blogs de filles comme elle qui font un billet avec et sur trois fois rien, et qui nous donne le sourire avec ces trois fois rien. Des filles qui ont pour passion la mode et/ou l'art et dont la lecture m'a tellement fait de bien que, même si nous ne nous connaissons pas, je leur suis reconnaisante. Des filles sympathiques qui ne se laissent pas dérouter par un garçon capricieux et instable. Des filles qui montrent qu'on peut être bien avec un dressing et des copines. Et ça, tout le monde l'a. Je n'insinue bien sûr pas qu'elles ont tous les jours, toutes les heures, le sourire aux lèvres. Elles sont comme tout le monde. Mais ce qui me plaît c'est qu'elles ne se lamentent pas sur leurs malheurs sur leurs blogs. Et au lieu de plomber notre journée avec des textes sombres et torturés, elles nous donnent la pêche, le sourire et l'envie de dire merde à ce qui nous fait pleurer.
Je veux du superficiel, des textes joyeux. je veux être une fille épanouie, qui a des bonheurs simples. Une fille qui passe des soirées à parler chiffons avec ses copines, et pas des soirées à se morfondre sur un idiot.

20 juin 2008

My baby don't mess around because he loves me so and this i know for sure

Et maintenant je devrais déjà avoir écrit deux ou trois articles désespérés sur le sujet. Mais je n'ai même pas le courage d'en parler, de mettre des mots dessus. Ce serait encore les mêmes. Ceux que j'écrivait il y a un an, quand je n'arrivais pas à me faire à l'idée que c'était fini, qu'il était parti. Maintenant, après qu'il soit revenu, qu'on ait fait des projets ensemble, qu'on se soit aimés (ou pas), je ne peux plus écrire sur ce sujet. J'ai déjà tout dit, tout écrit. Il n'y a plus qu'à relire les vieux articles.
Bien sûr j'espère son retour, d'autant plus que je sais qu'il est instable et qu'il est déjà revenu. Pourquoi ne le ferait-il pas cette fois-ci aussi? Est-ce qu'on a vraiment plus rien à se dire? Je me convainc que non, je veux encore savoir que quelqu'un pense à moi, qu'il me prenne dans ses bras en me disant que je lui ai manqué.

27 avril 2008

So blindly sure that he'd always have the satisfying hug I needed

the_red_line

[...]

Les Hives au Printemps de Bourges c'était génial et exténuant. Je me passe leurs disques en boucle, un sourire de bêtasse aux lèvres. A revoir! Et surement cet été à Angoulême.

[...]

27 décembre 2007

He wrote my name on the red telephone box

Au regret de te dire que je m'en vais...

Mais finalement non. Je reste. Et toi aussi. Nous sommes tous les deux là, au même point qu'il y a bien longtemps.
C'est peut-être mieux pour nous deux une relation comme ça, à distance, des moments passés ensemble une fois par mois... Avec des hauts et des bas, les défauts de l'autre qu'on accepte parce qu'aprés tout, cet autre, on l'aime pas mal. Des disputes qui ne finissent pas par une rupture tous les 15 jours. Une relation qui ressemble un minimum à quelque chose en fait.
Quant à ce qu'il se passera aprés, ne surtout pas y penser. Parce que bien sur, je ne conçois cette façon de faire que provisoire. Pour moi, il n'est pas possible que cela continu comme ça des années. Je n'attendrais pas 3 ans que tu daignes me rejoindre.
Mais je ne préfère pas aborder le sujet, avec toi ou avec moi-même. Qui sait ce qui se passera. Cela m'a trop joué de tour de me poser des questions sur l'avenir.

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3 novembre 2007

Oui je suis au regret de te dire que je m'en vais Car tu m'en as trop fait

Jarred

Je suis fatiguée. Il m'a fatiguée et me fatigue.
Son indécision d'adolescent de 15 ans me fatigue, m'énerve, me lasse. Sa façon de ne pas savoir ce qu'il veut, d'être incohérent pour finir par me dire que je suis chiante, me fatigue.
Je pense que je l'aime toujours mais je suis blasée, fatiguée. Je sais à l'avance ce qu'il fera et surtout ce qu'il ne fera pas pour moi, pour nous.

J'ai été épuisée moralement et physiquement par mes sentiments à sens unique. J'était enfin revigorée, je ne pensais plus à lui, mon esprit s'interessait plus à ma vie future qu'à ma vie passée. Il a refait surface avec ses J'ai envie de te voir, Tu me manques, Je tiens à toi, et consorts. Et j'arrivais à ne pas trop y penser, à ne pas être obsédée. Bien sûr que c'était agréable puisque ces messages c'est moi qui les lui envoyait il n'y a pas si longtemps. Si je voulais me venger et le rendre malheureux je n'avais qu'à lui dire de tout arrêter.
Et son indécision de mec pas mature est arrivée. Et sa crise de jalousie qu'il finit par retourner contre moi. Pour finir je n'était plus qu'un plan cul pour lui. Et finalement ce ne serait plus le cas...

Autant de contradictions et de changements de cap en à peine une semaine... bien sûr que j'ai été perturbée! Mais au-delà de ça je suis fatiguée, lassée d'avoir des sentiments pour un garçon qui NE SAIT PAS, QUI NE SAIT RIEN. Incapable de prendre une décision et qui préfère te baloter de gauche à droite. Mais ça n'a vraiment rien de drôle.
Et un garçon qui t'en fout plein la gueule parce qu'il a quelque chose à dire, parce que tu vois lui dit ce qu'il pense quand il le pense, sans prendre de gant, et ouai! Mais aussi un garçon qui n'accepte pas qu'on ait des choses à lui  reprocher et qui te traite de casse-couilles quand t'as le malheur d'oser le faire. Un garçon qui veut que tu changes, que tu ne te poses jamais de question mais qui n'envisage pas de changer une minuscule partie de lui, ni même de faire des concessions.
Et vivre avec toujours la menace de te refaire larguer si tu dis un mot qui ne lui plait pas et qui lui rapelle pourquoi il l'a déjà fait auparavant: t'es relou quand ça va pas. Toujours faire attention aux messages que tu lui enverras de peur qu'il te réponde que c'est fini.

C'est fatiguant, je ne suis même plus triste quand j'y pense juste crevée. Je demande juste un peu de clarté et peut-être aussi des explications avec lui. Des reproches qui pour lui seront le rappel de ma chiantitude aigüe. Mais s'il ne les accepte pas, je ne courrai pas derrière lui, c'est fini. Même si j'ai toujours des sentiments pour lui, il y a des choses qui ne passeront plus.
Quitte à renoncer.

29 août 2007

Lycanthropy. Piste 10. Paris.

Non. Non je ne l'ai pas oublié. Je n'arrive pas à me faire à l'idée que...
C'est fini. Depuis deux mois déjà, et depuis tout ce temps je ne peux pas concevoir. Non! C'est au-dessus de mes forces.
Je me souviens de tout. Je n'ai rien oublié d'aucune des soirées, aprés-midi... Je me souviens de choses, de phrases, de moments que j'avais oublié.
Et je continue de faire des projets avec lui. Des projets qui se font uniquement dans ma tête. Jamais je ne lui en parle parce que ça me ferait trop mal d'entendre la réponse que je connais déjà. Plus rien n'est possible... Non je ne peux pas.
Je devrais l'avoir oublié, depuis tout ce temps. Il ne se passe pas une journée sans que je pense à lui. Tout me ramène à lui

Pourquoi est-ce que c'est fini? ça ne devrait pas. Pourquoi s'est-il lassé? Il n'aurait pas du, je suis bien mieux que lui et que toutes les autres. Il s'en rendra compte hein? Il regrettera un jour... Et ce jour là, naturellement je serais là pour lui retomber dans les bras parce que je ne l'aurais toujours pas oublié. Je serais encore faible et ne résisterais pas. Tout comme je fais quand il m'apelle pour que fasse la pute. C'est moins cher et moins chiant.
Je fais semblant, semblant que cette espèce de relation me convient. Bien sûr que ça ne me convient pas. Bien sûr que je fais toujours l'amour tandis que lui ne fait que baiser.
Et j'entend tout le monde dire que je ne dois pas le revoir, que je ne dois pas l'apeller, que je ne dois pas y aller quand il me propose de venir. Je sais bien qu'ils ont raison mais ils ne peuvent pas comprendre. J'ai toujours envie et besoin de le voir.
Et je commence à douter. Est-ce que vraiment ce sera plus facile quand je serais à Paris? Je m'imagine que je serais trop occupée pour penser l'apeller, ou même penser à lui; mais est-ce que ce sera vraiment le cas? Est-ce que je ne serais pas plutôt désespérée de ne pas pouvoir le voir aussi "facilement"? Je compte sur ses regrets, mais au fond je me doute qu'il n'en aura pas. Non il n'en aura jamais. parce qu'il a autre chose à penser, à faire. ça a toujours été le cas, ça ne changera pas quand je serais partie. Au contraire

[...]

17 août 2007

Don't blame this sweet and tender hooligan

the_do

Des amis peu fiables, une amie de moins et un ex que j'aime encore pour qui je fait la pute.
Voilà ce qu'il me reste.
Autant dire que je ne regrette pas de partir à Paris en Septembre. Sûrement pas la nouvelle vie trépidante que je m'imagine mais au moins plus excitante que celle que j'avais ici.
Des amis moins chiants et des amoureux qui en valent plus la peine.

Paris j'espère t'aimer.

6 mai 2007

Je suis décidément une pessimiste forcenée, moi

Je suis décidément une pessimiste forcenée, moi qui appréhendait comme jamais ce Printemps de Bourges, je crois bien que ce fut le meilleur de ma courte existence. Quoiqu'une journée ce soit bien trop court.

Ne ressentir aucun manque sentimental parce qu'on pense à autre chose, parce qu'on s'amuse comme on ne l'avait pas fait depuis longtemps avec seulement deux personnes. Apercevoir des gens indésirables et se cacher parce que nous sommes de grands enfants. Voir une jolie personne que l'on a pas vu depuis longtemps dans les couloirs de la fac, lui faire un grand sourire et l'attendre plus que son propre boyfriend.
Réussir à croiser et papoter avec un membre de groupe dans la journée. Chercher les Naast sans discontinuer pour leur lancer une fourchette en plastique (chose que nous ferons pendant leur concert). Mais, au final, trouver devant la salle un parfait sosie de Gustave, la tendance BCBG plus dominante, avec en prime la courte veste en fourrure. Ne, bien sûr, pas échapper aux parisiennes clichées. Jouer les blasées pour les Naast mais crier quand même notre amour pour Clod, ce sex-symbol dégoulinant de transpiration. Notre opinion sur les Naast restera la même: ne mérite absolument pas le buzz autour d'eux et Gustave a du boulot à faire niveau charisme, voix et cette putain de mèche qu'il faut remettre entre deux notes!!
Tenter de rester classe un gobelet en plastique à la main, se faire draguer, tenir des conversations sans queue ni tête. Se promener entre les deux salles, le bar et les groupes avec une personne auquelle tu commences à être plus qu'attachée mais qui te faisait appréhender cette soirée. Un ou deux pincements de jalousie, vite oubliés. Rire beaucoup car il se passe plein de choses droles: invitations à une soirée privée, coup de tête, pollution, talons hauts... Tenter d'éviter une bagarre. Courir au premier rang pour admirer les Rakes.
Alan est un peu guindé au début, le public ne serait-il pas motivant? Puis il se décoince, le public aussi. Tout le monde monte sur la scène et fait son chow quelques secondes. Euphorie, bonheur et sueur.
On se sent bien durant tout le concert et même aprés. Sourire aux lèvres, cheveux en bataille et t-shirt collant, on trouve Jamie assis sur scène aprés le concert. Toujours avec ce sourire niais on répète 28 fois qu'on est MONTE SUR SCENE!!! Et ce sourire niais nous accompagne partout: aux toilettes, à la recherche d'objets perdus. Sourire niais en marchant dans les rues désertes de Bourges à 3h30. Ce sourire niais en se couchant et au réveil. Ce sourire niais...

19 avril 2007

Aujourd'hui: Printemps de Bourges.Avec le garçon

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Aujourd'hui: Printemps de Bourges.
Avec le garçon aux cheveux roux qui m'accompagnent depuis assez longtemps maintenant. C'est aussi celui qui est à l'origine de mes dernières prises de tête.
Il n'y a pas si longtemps les rôles étaient inversés, mais maintenant c'est moi qui angoisse, qui veut être rassurée et lui qui me dit d'arrêter de me prendre la tête (et aussi qui ne me rassure pas du tout).

J'ai peur d'aprés le concert, quand je devrais supporter son alcoolémie et celle de ses copains. Quand je me ferais profondément chier parce que je n'ai pas bu autant. Je me pavanerais avec mon t-shirt des Strokes et mes lunettes blanches, espérant que quelqu'un voudra me tenir compagnie.

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